« L'éternel Dubout les convie
à une grande corrida, et qu'ils peuvent courir sans crainte,
sans scrupule se mettre dans les rangs des aficionados, car les
arènes sont des arènes joyeuses quand c'est le
père Dubout qui s'en mêle. C'est une corrida pour rire,
une de celles dont nous avons le plus besoin dans ces temps quelque peu
pénibles. »
Georges Brassens
in Corridas, Éditions Michèle Trinckvel, 1967.