« Les foules, toujours présentes
dans ses "Corridas" ne sont plus qu'explosions colorées,
heureuses, réconciliées. Le besoin d'arriver à la
fraîcheur, par des moyens de peinture presque pure, hantait ce
narrateur prolixe, ce caricaturiste amoureux du détail
jusqu'à l'ivresse. Enfin l'écrabouillement de l'homme
dans la foule, qui semble avoir nourri chez lui la source du rire, se
clame ici brusquement devant la fête et silence heureux. »
Xavier Dejean, conservateur du Musée Fabre, octobre
1977.